-Bon, partez devant je vous rejoins ! crie Raoul aux deux filles, alors que d'un bond, elle sont sur les toit des deux batiment qui bordent la grande allée de l'lentrée de Brisson. Raoul ramene son attention sur Paul, encore un peu dans le délire de la chasse aux rats.
-Tu va te cahrger des ateliers, et je vais me faire l'internat.
Jenny gueule depuis un toit.
-VAS Y MOLLO MON CHERI !
-T'INQUIEEETE ! On y va ? Raoul a vraiment l'air de s'amuser, mais prend ca tres a coeur. Flottant a quelques pieds au dessus du sol, il file le long de l'allée, traverse le batiment principal et débarque avec Paul dans la grande cour de Henri Brisson. Paul jete un oeil au dessus de lui, Sophie et Jenny ne se battent plus, elles sont assises. Un peu surpris, le temps de ramener son regard sur la scene, tout change. Raoul est a plusieurs metre au dessus du sol, a ses pieds une foule de gros balourds plus ou moins amoché, mal sapé, de veritable survivant sauvage. Ils sont retourné au primal et Raoul est la pour les déloger. Paul s’assied a son tour, mais Raoul ne fait rien. C’est Sophie qui parle, du haut du toit, d’une voix forte et claire.
-Ecoutez moi bien ! (Les bestiau relevent la tete un instant). Nous sommes entré ici suites a des plaintes, et tout ceux qui s’opposeront a nous seront traité comme des ennemis. Nous cherchons deux personnes et si chacun fait un effort, il n’y aura aucun blessés.
-On y croit…mumure Jenny. Paul sourit. Sophie reprend son souffle mais est coupé par une autre voix, grave et forte. La foule s’écarte pour laisser passer un gringalet. Il porte des fringues de sport plutot propre et fais un peu tache dans la masse des bourrins.
-Salut, Raoul ! Il a tout a fait le ton de ceux qui pensent que « Raoul » est en soi un gros mot.
Raoul redescend, après un coup d’œil a Sophie et Jenny. Elle ont disparue. Paul s’eleve un peu pour voir ce qui se passe.
-Salut Wilfried. T’as recupéré de ta pilée.
-Les gars, crie t’il avec sa fausse voix, ce mecs et ses copines n’ont rien a faire ici, degagez les. Raoul s’envole a nouveau alors que la masse de monde se presse sous lui, essayant de l’attraper. Wilfried est monté sur les épaule d’un gros gars.
-Alors du-gland T’en veut encore ou bien ce coup ci tu veut te faire cogner par un mec ?
Lee petit gars s’enerve. Raoul rigole. Il se tourne vers Paul.
-Recule toi, ou monte sur les toits, Tab ! Apres avoir dit ca, il dit un truc mais on entend rien, parce que dans tout le lycée resonnent Les Danses Polovtiennes du Prince Igur. Il a vraiment le dn pôur se la peter quand il veut. Raoul continue a prendre de la hauteur, alors qu’en bas ils commencent a lui lancer des pierres, des bouts de ceramique, qui leur retombent dessus. Paul, depuis les toit, voit tres bien où veut en venir Raoul. La musique couvre le terrible grondement, alors que les quatre batiment qui cernent la cours se rapprochent et se resserent. Finalement, les gros lards y font attention et quelque uns commencent a courir vers l’exterieur, et même certain arrivent a se faufiler entre les murs qui se rapprochent toujours un peu plus. Finalement, dans un silence lourd, tout s’immobilise, et Raoul vole au dessus d’un grand puit sombre. Plus personne ne sort, ils sont tassés, serré les uns contre les autres dans « leurs » cour. Raoul parle et Wilfried ne le coupe pas ce coup ci.
-Ceux qui le desirent pourront sortir, si il font preuve de tenue et respect. Ce lieu est officielement l’endroit ou seront detenu tout les pillard, criminel et autres ordures que nous estimons dangereux. Aucune loi formelle n’y est en vigueur. Maintenant, sortez !
Les portes des batiment s’ouvre, et apres un grondement de foule, les mastard se pressent vers les sortie pour se diluer dans les rues de Vierzon. Jenny et Sophie réapparaissent a coté de Paul, avec un grand sac a patate qui remue. Apparement, il y a deux personne dedans. Le sac manque de tomber, mais Jenny le retient du bout du doigt.
-Son plan a marché, les deux qu’on cherchait on fuit les premiers, commente Jenny, un peu reveuse.
-Et on a resolu ton probleme Tab, non ? Continue Sophie.
-On a plus qu’a aller chercher nos premiers « detenus ».
-Pas les premiers, regarde en bas. Paul reste sans voix. Tout en bas, dans la cour sombre, Raoul s’est posé et retient Wilfried par le bras. D’un geste de tete, les portes se referment et Raoul disparaît.