| La Vraie Vie On est jamais mieux servi que par soi même. |
| | Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards | |
| | Auteur | Message |
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Jenny Illuni Meujeu
Messages : 23 Date d'inscription : 16/09/2007 Age : 37
Feuille de personnage Statut: Volontaire Devise: L'alcool un probleme ? Je bois j'suis bourrée je tombe. Où est le probleme ? Age: 20
| Sujet: Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards Dim 30 Sep - 13:49 | |
| - Citation :
- Je fais volte-face et, mon fusil dans une main, ma clé à molette dans l'autre, je suis prêt, J'attaque.
Tu veux attaquer, Ok. A toi l'honneur | |
| | | TWB Surhumain
Messages : 24 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 34 Localisation : Vierzon
Feuille de personnage Statut: Lycéen Devise: Arbeit macht Fleisch Age: 18
| Sujet: Re: Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards Dim 30 Sep - 20:13 | |
| Bon, récapitulation rapide dans ma tête, ils sont 3, je suis seul, donc en infériorité numérique flagrante. De plus, je suis un poil dans un cul-de-sac. Si je les laisse faire, ils vont me tomber tous à la fois dessus, et le plan "patée pour chien", non merci. J'ai quand même un avantage, l'armement, j'ai un fusil de paintball ras la gueule de billes(légèrement durcies en plus, ça aime pas trop le froid la gélatine), et j'ai une clé à molette de bonne taille, ce qui me confère une assez bonne puissance de frappe.
Une seule solution, non pas la manifestation, mais l'attaque sauvage. Et ça tombe assez bien, j'ai très envie de me défouler.
Je charge en hurlant(pour me défouler surtout) le plus près de moi à ma gauche, tout en lui tirant une grosse rafale de bille avec une précision plus que relative, mais sans respecter la distance de sécurité. Autant dire que le bonhomme n'aime pas particulièrement ça, et il apprécie encore moins le coup de clé qui lui vole dans les dents, éclaboussant le mur tout proche d'une belle gerbe de sang pendant que le pillard s'écroule comme une loque à terre. C'est dommage, c'est lui qu'avait la meilleur gueule...
Par contre, l'effet de surprise passé, j'me retrouve avec des rigolos pas rigolard du tout, qui on la ferme intention de me faire payer ce que j'ai fait à leur pote. J'aime pas celui qui court vers moi avec sa barre de fer... | |
| | | Raoul Bisot Meujeu
Messages : 57 Date d'inscription : 06/09/2007 Age : 36 Localisation : Vierzon Paris
Feuille de personnage Statut: Volontaire Devise: Choisi ce que tu veut amener avec toi, car chaque chose t'alourdi. Age: 18 ans
| Sujet: Re: Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards Sam 6 Oct - 1:28 | |
| Le type qui court vers Valentin casse son élan alors que son pote tombe dans les vappe, la gueule saignante contre le mur. Il s’accroupit a coté de lui, et par une sorte de signe, l’autre s’approche rapidement et sort un vieux canife. Valentin se redresse et tente un coup, mais l’autre esquive d’un pas rapide, le saisit au bras et fait tourner sa lame. Un moment de panique alors que Valentin croit perdre un œil, puis il tombe a terre, passe ma main sur sa plaie et sens la coupure profonde sur tout le coté gauche. Le sang qui coule dans son œil et entre ses doigt colle, aglutine la poussiere. A moitié aveuglé, il attrape un truc au sol sans même faire attention, et dans un seul élan, il se retourne, se releve et lance le truc. C’est un enorme bout de beton, vraiment gros, bien 20, 25 kilo, qui part dans le bide du type au couteau. Le mec part en arriere avec, tombe rabourgri sur le coté et gerbe. Il ne se revelera pas. Le mec a la barre a disparu. Il est derriere lui, mais Valentin n’as pas le temps de réagir qu’il sent ses jambes ceder sous son poids et une soudaine douleur, le type a frappé d’un coup sec derriere ses genou. Ebourrifé, les main dans le gravier, la gueule en sang, Valentin entend l’autre parler mais n’écoute pas. Il repense a sa journée, a sa vie actuelle qui s’écroule, a son passé qui ne veut plus rien dire. Sans regarder, il attrape le pied du mec et serre, plus fort qu’il a jamais serré quoi que ce soit. Il sent d’abord un resistance, puis la cheville du mec devient comme du papier, et se concasse dans ses phalange. Il tombe au sol. Tout le deux dans la poussiere, face a face. Le mec a mal, mais la lueur de rage dans ses yeux le fait tenir bon. Derriere lui, l’autre a la gueule cassé reprend ses esprit. | |
| | | TWB Surhumain
Messages : 24 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 34 Localisation : Vierzon
Feuille de personnage Statut: Lycéen Devise: Arbeit macht Fleisch Age: 18
| Sujet: Re: Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards Sam 6 Oct - 12:25 | |
| Ce salaud m'as quasi brisé le tibia, et une chose est sur, il le paierra au centuple... Voir d'un oeil n'est vraiment pas aisé, et j'arrive pas à retrouver ma clé à molette par terre... Tant pis, ça sera boucherie artisanale! Je suis sur les rotules, dans tous les sens du terme, mais j'ai tellement emmagasiné de fureur que me retenir me ferais imploser. Je tire d'un coup sec la jambe du pillards que je tenait par la cheville, du moins ce qu'il en reste, et j'entend le cri de douleur... Je me jette sur lui au corps à corps et je commence à le marteler à coups de poings dans la tête, manière concasseur, et en chaque coup, ma voix résonne avec rage dans le hangar. Il arrive bien à me filer 2-3 coups de poings dans les côtes, mais rapidement, plus de réponse. Je lui crache le sang qui coule sur mon visage en pleine face, et me rend compte que de toute façon, ça fait plusieurs secondes que je tape sur quelque chose qui ne fait même plus "crac", la tête du gars se résume en fait à une espèce de bouille informe, je lui ai carrément défoncé le crâne... Avec énormement de mal et de douleur, je me relève, pissant le sang, mais maintenant, il n'y a plus uniquement que le mien... La respiration forte, le regard vraiment mauvais, je fais face au premier guignol que j'ai éclaté au début. J'vais lui bouffer les entrailles. | |
| | | TWB Surhumain
Messages : 24 Date d'inscription : 09/09/2007 Age : 34 Localisation : Vierzon
Feuille de personnage Statut: Lycéen Devise: Arbeit macht Fleisch Age: 18
| Sujet: Re: Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards Mar 9 Oct - 20:52 | |
| C'est bizarre, ça fait quelques secondes que je le toise,il dit rien, et il fait beaucoup moins le fier qu'au début avec son ricanement stupide... Surement qu'il peut plus rigoler d'ailleurs, vu l'état de sa tronche... Encore en trop bon état d'ailleurs... J'me suis à peine amusé avec ses potes, et pourtant, des scènes pareilles, y'en a même pas deans les paroles de Cannibal Corpse... Et cellez qui va suivre non plus je pense!
Je m'approche en titubant un peu(j'ai quand même limite les 2 jambes en moins) alors que l'autre ne bouge pas, apparement pétrifié de peur... Une étincelle de sadisme brille dans mon regard, et lorsque je commence à essayer de tenir ma proie, celui si essaie de sortir de mon étreinte en me repoussant de ses bras tremblant. Je choppe un poignet, puis l'autre, et commence à serrer. Très fort. C'est bizarre, j'ai découvert cette douce musique il y a quelques secondes, et je ne m'en lasse déjà plus. La resistance commence à faiblir, les poignets craquent comme des branchages secs, il hurle, du moins essaie. Pas longtemps. Je l'attrape par le coup, je commence à serrer, et une idée amusante me vient: D'un coup plus que violent, mon autre main traverse sa gorge. Quelle ironie de voir ces squatteurs agresseurs agoniser devant moi. Je ne réalise plus ce que je fait. Des pulsions m'ordonnent tout. Un instinct presque.Je crois que je deviens fou. après tout, vu la tournure des évenements dans ce coin, c'est tout sauf étonnant. Je n'peux plus me retenir, ma machoir vient se planter dans ce qui reste de la gorge du futur macabée qui vit ses dernières secondes. Non content de goûter au sang(J'ai toujours aimer le sang, même le mien quand je me blesse), je commence à me déchaîner sur la dépouille, avec une violence inouïe, bestiale, j'aperçois ma clé à molette, enfin, et je lui ouvre le ventre avec "délicatesse". Je ne sais vraiment pas ce qu'il me prend, je ne me contrôle plus, mais pourtant j'aprécie cet état... J'avais dit que j'lui boufferais les entrailles, j'me gène pas... Mes quelques cours de SVT que j'ai eu me permettent tout de même de reconnai^tre ce que je mange: Un ptit bout de coeur par-ci, un bout de muscle par là... Le foie est trop alcoolisé pour que j'y touche...connard d'alcoolique! Par contre, le coeur, c'est largement le meilleur... Après cette légère collation, je reprends un peu mes esprits et me rend compte du carnage.Même les nazis devaient faire preuve de moins de barbarie. Point positif, je suis pas mort, et je risque pas d'avoir de poursuite judiciaire vu l'état des services publiques dans le coin. Point négatifs, euh, j'vais devoir faire le ménage... Y'a des "restes" sanguinolants un peu partout, et je suis moi même plutôt bien charcuté... L'autre connard m'as bien entaillé la tempe, et la douleur commence à vraiment se faire sentir... Sans compter que mes fringues sont ruinées par le sang, la poussière et les déchirures... C'est bizarre, mon accès de démence ne m'inquiète pas plus que ça... J'esquisse même un sourire en y pensant. J'fous un dernier coup de latte dans les cadavres avant de retourner voir si ils ont rien piqué dans ma piaule, et faut que j'me change en plus... | |
| | | Le Monde Meujeu
Messages : 100 Date d'inscription : 06/09/2007
| Sujet: Re: Les entrepots SNCF : TWB VS. Pillards Mar 9 Oct - 22:01 | |
| Combat terminé.
Profite bien de tes restes d'humanité, et prie pour que la pluie nettoye la puanteur qui s'installe. | |
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